Notre gouvernance


Notre gouvernance

Nos priorités

  • Une gouvernance mieux partagée avec nos structures, nos territoires –CRCK, CDCK-, et nos instances -conseil fédéral, commissions-
  • Des instances mieux adaptées aux orientations du projet fédéral
  • Renforcer la communication et la concertation entre nos instances.
  • Une politique de parité au sein de nos instances.
  • Renforcer le rôle des cadres techniques comme forces de propositions et d’expertise pour nos instances.
  • Moderniser le fonctionnement de nos instances.

Pourquoi

  • Nos statuts ont montré leurs limites. A titre d’exemples,
    • La concentration des pouvoirs sur le BEX (bureau exécutif) renforcée par son droit de vote au sein du conseil fédéral
    • Le nombre insuffisant d’élus au sein du BEX (6) au regard des missions qui lui incombent,
    • Un conseil fédéral qui a du mal à jouer son rôle et à trouver sa place dans la dynamique fédérale.
    • Des territoires -CRCK, CDCK- peu représentés au sein des instances fédérales actuelles—seuls 2 présidents de CRCK au sein du conseil fédéral– .
  • Certains choix ont eu des effets négatifs. A titre d’exemple: La suppression de la réunion plénière des commissions nationales.
  • Le rôle et la place des commissions dans la gouvernance, leur nombre et leur périmètre sont parfois inadaptés aux enjeux de développement de la FFCK. Exemple: pas de commission loisir.
  • Il est souvent fait état d’un déficit de communication entre nos instances et nos structures .
  • Le code du sport prévoit à terme la présence de 40% de femmes au sein de nos instances à l’horizon 2020.
  • Le développement des outils numériques doit nous permettre de renforcer la concertation entre les différents acteurs de la FFCK et nous rendre plus efficaces en réduisant notre empreinte carbone. Exemple: moins de réunions physiques
  • Une évolution de la gouvernance ne peut pas s’envisager sans tenir compte du rôle et de la place des cadres d’Etat auprès et au sein de nos instances.

Comment

  • Faire évoluer nos statuts et leurs annexes. A titre d’exemples :
    • La limitation à 2 mandats pour la fonction présidentielle.
    • Créer une instance des territoires —présidents de régions et représentation des CDCK— pour renforcer les relations entre les territoires, le BEX et les commissions– en prenant en compte la situation particulière de nos régions et départements d’outremer dans le fonctionnement de cette instance. Exemple: conseil des territoires et du développement
    • Revoir l’organisation des commissions : leur nombre, leur dénomination et leur périmètre afin de mieux les adapter aux nouvelles orientations fédérales—ex: création d’une commission loisir, redéfinition de la dénomination et du périmètre de la commission patrimoine nautique, mettre un terme à la présidence de la commission nationale jeune par le président fédéral.
    • Un conseil fédéral davantage impliqué dans des missions de suivi du travail des commissions et des projets fédéraux.
    • Un BEX qui n’est pas juge et partie au sein du conseil fédéral -réexamen du droit de vote-.
    • Ouvrir la possibilité pour le BEX d’avoir une composition comprise entre 6 et 10 membres au lieu de 6.
  • Réaffirmer le maintien de certains éléments de nos statuts tels que:
    • L’élection des présidents de commission par les représentants des régions et la reconnaissance de leur force de proposition.
    • La réunion plénière des commissions nationales.
  • Améliorer la concertation entre nos différentes instances par des échanges réguliers, notamment les relations BEXCommissions—Conseil des territoires et du développement— conseil fédéral -
  • Prendre en compte les cadres d’Etat comme forces de propositions et cellules d’expertises pour les instances.
  • Faire évoluer nos statuts pour prendre en compte à terme la présence de 40% de femmes dans nos instances.
  • Moderniser nos outils et modes de communication :
    • Créer une cellule en charge de l’internet et du numérique.
    • Mettre en place de nouveaux outils. Exemples : plateformes collaboratives, outils facilitant la tenue des réunions, le travail à distance.
    • Prendre en compte dans cette réflexion la spécificité des régions et départements d’outremer.

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