Nos pratiquantes et pratiquants


Nos pratiquantes et pratiquants

Nos priorités

  • Augmenter le nombre de nos adhérents, fidéliser nos adhérents. Améliorer notre taux de renouvellement dans les catégories juniors notamment où on observe un décrochage.
  • Développer le lien entre le siège et les pratiquants
  • Prendre en compte les nouvelles formes de sociabilité développées par les réseaux sociaux.
  • Poursuivre et renforcer nos politiques sectorielles en veillant à leur mise en œuvre, leur suivi et leur évaluation:
    • Les jeunes : veiller à la qualité de la formation de nos jeunes au sein de nos clubs et à proposer des animations cohérentes du niveau local au niveau national.
    • Les féminines : mettre en œuvre, assurer le suivi et l’évaluation du plan fédéral de féminisation du canoë-kayak.
    • Le handikayak : rendre nos pratiques accessibles à tous.
    • Les pratiques adaptées aux déficiences mentales —sport adapté–.
    • Le sport insertion et la déclinaison du plan fédéral citoyen du sport.
    • Le sport santé et bien être —développer la pratique à des fins préventives ou pour les personnes atteintes de pathologies chroniques non transmissibles —cf Plan national du sport bien être-
  • Prendre en compte la diversité des motivations de nos publics tout en permettant à chacun d’atteindre son plus haut niveau de pratique.
  • Renforcer notre positionnement au niveau scolaire et universitaires

Pourquoi

  • La pratique non licenciée est dominante —2 à 4 millions selon les estimations— et constitue un des enjeux de développement:
    • Créer le lien avec ces pratiquants
    • Créer le lien avec les structures commerciales, bases nautiques, qui accueillent ces publics
  • Notre nombre de licenciés (Lic Can+) de 2014 (34510) à 2015 (34366)
  • Le taux de renouvellement de nos licences est de 78,55% soit 21,45% de non renouvellement. Ce chiffre peut sans doute être amélioré. Il est plus faible dans les catégories juniors. Source AG 2015.
  • La pratique féminine représente 30% de nos licenciés.
  • Les politiques sectorielles —féminines, sport santé etc.— nécessitent des approches globales : accueil au sein des clubs, encadrement, formation, animations, équipements, communication etc.
  • Notre politique dans le domaine de la formation et des animations en direction de nos jeunes reste à construire y compris dans le domaine du loisir jeune.
  • L’accueil des personnes présentant des déficiences, motrices, perceptives ou mentales reste difficile pour nos clubs du fait du manque d’infrastructures adaptées, de formation des cadres et bénévoles, de matériel, d’accessibilité des sites de pratique.
  • La lisibilité de nos actions dans le cadre de l’accueil des publics fragiles —sport insertion- reste limitée. Plan citoyen du sport—
  • Grâce aux réseaux sociaux on assiste au développement de nouvelles formes de sociabilités numériques —des regroupements ponctuels pour naviguer sur un site jusqu’à des groupes structurés dont les membres sont parfois cooptés, au sein de nos clubs mais aussi en dehors de nos structures. Il faut prendre en compte ce phénomène et lui apporter des réponses propres à assurer le lien entre nos adhérents tout en contribuant à notre développement.

Comment

  • L’augmentation du nombre d’adhérents passe par des politiques multisectorielles et des actions sur des leviers directs et indirects. Il est cependant possible de mettre l’accent sur les points suivants.
  • La mise en place de stratégies de fidélisation pour améliorer notre taux de renouvellement—ex: licences de couleur en fonction de l’ancienneté, développer les outils permettant d’établir des relations individualisées et interactives avec nos licenciés, intervenir lors des périodes clés de la rentrée et au printemps pour inciter à la reprise de licence en partenariat avec les CDCK les CRCK et les clubs, améliorer l’interface « espace licencié » sur le site FFCK—newsletterlistes de diffusion-.
  • La liaison entre pratiquants non licenciés et les clubs: Enrichir le service trouver un club
  • Une étude d’opportunité et de faisabilité sur la prise de licence et de paiement en ligne pour améliorer notre taux de renouvellement, capter de nouveaux licenciés, limiter les charges de gestion administrative pour les clubs. Cette possibilité est offerte par certaines fédérations—ex: FFTriathlon, FFChar à voile, FFGolf –.
  • Réexaminer notre politique en matière de titres.
  • Une politique de l’offre d’animation adaptée à la variété de nos publics et de leurs motivations.
  • Envisager une direction technique nationale adjointe en charge de nos politiques sectorielles pour assurer la définition, la mise en œuvre et le suivi et l’évaluation de ces politiques.
  • Poursuivre et élargir notre politique d’appel à projets afin de favoriser le développement de l’accueil de tous les publics. Exemples: Handikayak, sport insertion, sport adapté, sport santé.
  • Développer les outils facilitant les nouvelles formes de sociabilité —Notion de groupes coopératifs— afin que ces activités se développent au sein de notre fédération et renforcent nos animations loisir notamment. La création d’une « cellule numérique » doit nous permettre de mener ces réflexions. Exemple: plateforme tam-tam-kayak en référence à la tribu FFCK pour l’échange des sorties, regroupements.
  • Renforcer nos liens avec la FF sports adaptés et la FF handisport pour coordonner nos actions.
  • Pour développer notre implantation au sein des universités:
    • Faire vivre le réseau des enseignants en STAPS – Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives
    • Communiquer sur les événements —championnats de France universitaires—
    • Favoriser la création des sections sportives universitaires en lien avec les universités et la FFSU—fédération française du sport universitaire.
    • Accueillir des événements internationaux: championnats du monde universitaires.
    • Assurer le liens entre championnats universitaires et animations nationales Classements, officiels et juges - Veiller à notre implication au sein de la CTMN -commission technique nationale mixte de la FFSU-.
  • Le renforcement de notre présence en milieu scolaire passe par:
    • Des actions dans le cadre de la formation initiale via le réseau des enseignants en STAPS, et de la formation continue des enseignants d’EPS dans les académies.
    • Un réseau des enseignants d’EPS dans chaque région / académie à identifier et faire vivre
    • Une politique documentaire—publications –.
    • La déclinaison de l’outil « pagaies couleurs » pour la pratique et les programmes scolaires.
    • Communiquer sur les championnats scolaires - L’ouverture de certaines pratiques non compétitives aux scolaires.
    • Des programmes de développement spécifiques: ex Mener une réflexion sur le développement des pratiques en eau calme en milieu scolaire —Exemple: plan kayak polo —.
    • Créer des passerelles entre les jeunes officiels UNSS et les juges et officiels FFCK.
    • Le développement de section sportives scolaires dans nos régions.

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